5 choses que nous avons apprises récemment sur Chelsea
- Conte a une autorité limitée en matière de décisions d’achat/vente. Rien de nouveau ici, juste une nouvelle confirmation de ce que nous savons déjà.
- S'il avait eu le plein pouvoir de décision, Diego Costa aurait été mis à l'écart il y a des mois. Les menaces judiciaires de la prima donna brésilienne, son refus de revenir au club et sa belligérance générale ont été un fléau dont Conte sera ravi de s'être enfin débarrassé de lui. Cela a probablement été une source de sérieuses frictions entre Conte et Abramovich, ce dernier accusant peut-être Conte de la façon dont il a traité M. Grumpy à la fin de la saison dernière (rappelez-vous ce texte dans lequel Costa a rendu public lui disant qu'il ne faisait pas partie de l'avenir du club) pour avoir précipité cette longue période de lancer de jouets…
- Et si Conte avait pris ses propres décisions, alors Albert Morata n'aurait probablement pas été acheté – Morata n'était pas le premier choix de Conte comme attaquant. Pourtant, je ne peux pas reprocher au manager d'avoir prétendu qu'il le voulait depuis le début, compte tenu des performances,
- Et tant qu’on y est, Conte voulait-il vraiment vendre Matic ? L'un de ses joueurs de premier choix et une tour de force constante tout au long de la saison dernière, ses performances supérieures pour United jusqu'à présent cette saison rendront le spectacle particulièrement douloureux pour le manager de Chelsea, s'il n'avait effectivement pas voulu le vendre.
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Conte et Abramovich ne sont pas d’accord. Une mauvaise course (même si cela semble peu probable pour le moment) pourrait les voir se séparer.
(photo : Daily Express)